« EUROMARK, UN INVESTISSEMENT PAYANT ! »

Témoignage utilisateur.

Yvan Launay – jeune éleveur Morbihannais depuis 2009 a fait le choix d’une mélangeuse EUROMARK.

« J’ai toujours eu la passion de ce métier. Je me suis finalement installé en individuel en 2009 ; j’ai 48 vaches laitières, 67 génisses et des porcs. J’avais pour projet de changer ma désileuse car je souhaitais travailler sur l’aspect alimentation et surtout gagner en autonomie. J’avais déjà utilisé de l’EUROMARK et la conception de leurs machines m’avait frappé : c’est du costaud, simple d’utilisation et d’entretien. En 2014, au salon du SPACE, j’ai opté pour une mélangeuse monovis de 13m³ TXV13XLD EUROMARK avec tapis inox de série de distribution droite.

Suite à mon investissement, EUROMARK m’a proposé de faire faire un audit par un nutritionniste sur mon exploitation afin d’optimiser l’utilisation de la mélangeuse et surtout mes ressources en matières premières. Depuis, je vends toujours un peu de céréales, mais la quasi-totalité de ce que je cultive est pour produire du lait : sur 52 hectares, je fais du maïs, du triticale, de l’herbe et de la luzerne.

Grâce à la mélangeuse, je peux aller davantage vers ce que je veux, il y a une vraie maîtrise de la ration distribuée ce qui permet une alimentation équilibrée sur l’ensemble du cheptel. L’indéniable effet santé impacte la qualité : ça rumine mieux, je contrôle l’apport en fibre et du coup je vois une évolution sur mes TB et évite les variations de Ph dans les rumens. Je gagne également du temps en préparant ma ration à l’avance : une demi-heure gagnée le dimanche par exemple, ce n’est franchement pas négligeable pour la vie de famille.

Au-delà de la machine en elle-même, la qualité d’écoute et de conseil de l’équipe EUROMARK a joué un rôle décisif. C’est l’avantage des petites structures : quand il y a un souci, une solution est trouvée, ils ne vous laissent pas vous dépêtrer tout seul. C’est important de créer du lien, les gens s’en aperçoivent maintenant. Et sans chauvinisme, dans une conjoncture comme celle dans laquelle on évolue actuellement, il me semble important de travailler avec les entreprises locales qui font l’effort de produire 100% Français ».

Ouest-France vendredi 29 Avril 2016 – Rubrique Agriculture